Les symptômes
Une femme sur 2 sera un jour concernée par des symptômes d'inconfort intime tels que la sécheresse vaginale, douleur lors des rapports sexuels, béance vaginale, incontinence urinaire d'effort, et cicatrice d'épisiotomie sensible.
Sécheresse et atrophie vulvo-vaginales CHEZ QUI : la sècheresse et l’atrophie de la vulve et du vagin peuvent affecter toutes les femmes, quelque soit leur âge, mais concernent surtout les femmes ménopausées (dans 80% des cas), par carence estrogénique, et...
... en savoir + Laxité et béance vulvo-vaginales Le relâchement vulvo-vaginal est dû à une perte de tonicité et d’élasticité des tissus. La paroi vaginale est en effet constituée de fibres de collagène, et peut avec le vieillissement naturel, la ménopause, mais aussi le nombre d’accouchements par voie basse, perdre cette tonicité et élasticité.
... en savoir + Incontinence urinaire modérée ou fuites urinaires Elle se traduit par des petites fuites d’urine, lors de certains efforts ou circonstances, comme le rire, la toux, l’éternuement, la marche , les sauts, la course à pieds…
Les grossesses, les accouchements par voie basse, la ménopause, peuvent entrainer une diminution...
... en savoir + Douleurs vulvaires La vulve est une zone particulièrement fragile, et exposée. Son équilibre peut ainsi être affecté par des infections (mycose…), le vieillissement naturel, la carence estrogénique (lors de la ménopause, ou induite par certains traitements), certains agents physiques, ou traumatisme local (épisiotomie, déchirure lors des accouchements), certaines pathologies cutanées comme le lichen scléro-atrophique de la vulve et infections comme les mycoses à répétition.
... en savoir + VAGINOSE, MYCOSES à répétition, LICHEN scléro-athrophique vulvaire, Vulvites Il existe de nombreuses causes d’irritations vulvaires, qui peuvent générer un inconfort voire des douleurs, ayant comme origines soit des infections comme les mycoses vulvo-vaginales à répétition, ou encore certaines pathologies dermatologiques, telles que le Lichen scléro-atrophique, les localisations vulvaires de l’eczéma ou encore du psoriasis.
Il existe également des cas de vaginose chronique, qui correspondent à un trouble du Microbiote vaginal, responsable de pertes vaginales mal odorantes, que l’on a parfois des difficultés à enrayer, malgré des traitements pro biotiques prolongés.
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